2006/09/15

Vieillesse de la révolte

Un lecteur, le premier à laisser un commentaire (qu’il en soit remercié !), s’inquiète du peu de lisibilité de ce blog, le bleu et le texte en défonce étant selon lui peu lisible, et pas adapté au sujet (Debord). Je lui donne acte, j’arrangerai ça quand j’aurai le temps.
Je n’ai par ailleurs pas l’intention de me spécialiser dans la prose pré, post ou parasitu, et cette mise en page suffira bien. J’ai aimé Debord autour de mes 25 ans, mais cette « verte jeunesse » n’a pas duré toujours: je suis trop vieux. Je le relis aujourd’hui avec nostalgie, comme un grand styliste, comme un poète parfois, pour quelques lumineuses intuitions aussi. Mais le grand soir ne viendra pas, il n’y aura pas de révolution. Et d’ailleurs elle se ferait sans moi : j’ai fait le politest. C'est dit, je suis de centre-gauche, pas du genre à lancer des pavés.

No comments: